Mes mains brûlantes glissent sur les murs glacés
J’ai peu d’espoir de mémoire
Déjà j’ai tout perdu
Je n’ai plus ces maisons de roses pénétrées
Ni les rues ces rameaux de l’arbre le plus vert
Mais les derniers échos de l’aube maternelle
Ont adouci mes jours.
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