Tu t’en vas et alors que tu t’en vas
tu me dis: « Suis désolée. »
Tu penses ainsi me donner un peu de paix.
Tu me promets un souci constant, brûlant
quand tu seras seule et même parmi les gens.
Tu me dis: « Mon amour tu me manqueras.
Et toi tous ces jours qu’est-ce que tu feras? »
Moi je te réponds: « Je t’aurai toujours présente,
j’aurai de ton rien la pensée foisonnante. »

Patrizia CAVALLI
Photo Net

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