Plus je vieillis et plus je trouve qu'on ne peut vivre qu'avec les êtres qui vous libèrent, et qui vous aiment d'une affection aussi légère à porter que forte à éprouver. (...)
C'est ainsi que je suis votre ami, j'aime votre bonheur, votre liberté, votre aventure en un mot, et je voudrais être pour vous le compagnon dont on est sûr, toujours.
Cela sonne à mon cœur, comme une pleine volée de cloches dominicales tinte à mes oreilles...
RépondreSupprimerCes mots me parlent également...
RépondreSupprimerTrès agréable de vous lire! :-)