Je t’accueille parfois comme
une musique
circulaire
un ciel que je n’aurais
jamais connu.
vertical
à pleins poumons.
jamais dit.
voix toute nouvelle
comme l’ombre réussie des oiseaux.
et je m’attache à ce lieu d’évidence
tes yeux qui ne bougent pas.
l’image nombreuse
d’un instant pur,
ce grain de l’être
cette présence.
Lionel Ray
une musique
circulaire
un ciel que je n’aurais
jamais connu.
vertical
à pleins poumons.
jamais dit.
voix toute nouvelle
comme l’ombre réussie des oiseaux.
et je m’attache à ce lieu d’évidence
tes yeux qui ne bougent pas.
l’image nombreuse
d’un instant pur,
ce grain de l’être
cette présence.
Lionel Ray



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