La passante d’été

Vois-tu venir sur le chemin la lente, l’heureuse,
celle que l’on envie, la promeneuse?
(...)
Sous son ombrelle, avec une grâce passive,
elle exploite la tendre alternative:
s’effaçant un instant à la trop brusque lumière,
elle ramène l’ombre dont elle s’éclaire.

 Rainer Maria Rilke 




Commentaires

Articles les plus consultés