J’espérais contraindre au silence
ce qui dans l’ombre croît en moi
et retient mon souffle.
Avec la lumière décline
l’espace accordé,
on est au-delà
déjà dans la marge
avant l’impasse irrévocable.
Rien ne peut nous distraire de l’absence.
Rien.
Surtout pas le négligé des mots.
a.s. ©
Agnès Schnell a rejoint le paradis des poètes
Décembre 2015
Tableau René Magritte - La promesse (1950)



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