Une aube affaiblie Verse par les champs La mélancolie Des soleils couchants. La mélancolie Berce de doux chants Mon cœur qui s’oublie Aux soleils couchants. Et d’étranges rêves, Comme des soleils Couchants sur les grèves, Fantômes vermeils, Défilent sans trêves, Défilent, pareils À de grands soleils Couchants sur les grèves.
… Et les soleils couchants…
RépondreSupprimerUne aube affaiblie
Verse par les champs
La mélancolie
Des soleils couchants.
La mélancolie
Berce de doux chants
Mon cœur qui s’oublie
Aux soleils couchants.
Et d’étranges rêves,
Comme des soleils
Couchants sur les grèves,
Fantômes vermeils,
Défilent sans trêves,
Défilent, pareils
À de grands soleils
Couchants sur les grèves.
@ulysse fantastique n'est-ce pas?! Merci !!!
RépondreSupprimerEn effet, Douce, je ne connaissais pas ce poème et je l'ai découvert, presque par hasard, avec ravissement…
RépondreSupprimerMerci pour votre don hebdomadaire.
Jacques
@ulysse merci de votre fidélité !
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