« Ce matin mon petit coup de gueule. Déjà exprimé sur FB.  

Vous dire que j’en ai carrément marre de constater qu'un vieux fourbe pille souvent mes poèmes d’ ici. Celui qui fait ça régulièrement, « oublie » systématiquement de mentionner mon blog. Il partage sur le réseau social FB. 
Bloquée sur sa page, je ne peux donc pas lui dire ouvertement ce que je pense de ce procédé. 
Vous allez me dire bloquée alors tu fais comment pour savoir ? 
Un indice : Jean Diharsce (car c’est de lui dont il s’agit) et moi avons un bon nombre de contacts communs ! 
Poster en copiant collant sans mentionner la source… Ce n’est pas correct, mais cela lui ressemble tant. JD n’en n’est pas à une fourberie près. En ce qui me concerne, je déteste le mensonge. Mon blog est le fruit d’un long travail de lectures, de recherches, de mise en page etc.... 
J’y partage les textes qui me touchent et me plaisent et ce, depuis des années : mes fidèles lectrices et lecteurs le savent bien. 
Comment je sais qu'il vient ici me piller ? Tout propriétaire de blog en connait le fonctionnement somme toute assez simple, puisque nous avons accès à nos statistiques très détaillées. Partager le lien d’un blog c’est mentionner ses sources et reconnaître « l’Autre », plutôt que de se faire "mousser" sur un réseau social. Ce monsieur est un grossier personnage doublé d’un goujat. Qui se fait passer pour quelqu'un qu'il est loin d'être. Il trompe surement son monde de groupies : pas moi. Nous nous connaissons bien. Trop sans doute selon lui et c'est pour cela qu'il m'a bloquée du reste et depuis longtemps. La peur que j'use de mon franc parler habituel lorsque j’ose pointer les incohérences, les traîtrises et autres ! J'en aurais des choses à dire qui terniraient sa prétendue aura virtuelle ! 
Par correction et jusqu’ici j’avais opté pour le silence mais de là à accepter qu’on s’approprie mon travail sans vergogne, c’en est assez. Dernièrement, JD a une nouvelle fois posté sur son mur en copié collé l'avant dernier texte que j’ai mis en ligne, sans mentionner son lieu de pillage. Le pire, c'est que l'auteur du poème est venu le "saluer" et le remercier de "cette attention".... Je suis à la fois pliée de rire et outrée, tellement bien placée pour savoir que "l'attention" qu'il porte aux autres est assez limitée. Malgré ce qu'il en dit. Mais quel monde d'hypocrites. Non mais quel culot! J'en ai marre des butors.

Voilà voilà, ça fait du bien de "dire" sa colère. Je sais bien que mon blog est une petite merveille, les archives sont nombreuses et il y a de quoi lire, tu as raison de venir ici. Toi. Pas lui. Donc toi, Jean Diharsce, qui viens lire mon blog et y subtiliser sournoisement certains textes, fais montre d’ un peu de respect et de courage. De dignité même. Mentionne tes sources. Tout finit toujours par se savoir n’oublie pas cela. Il suffit d’un coup de vent et hop, certains secrets peuvent se répandre… 

Bien évidement la poésie doit être partagée, c'est même normal. Et c'est bien ce que je fais depuis des années ici. Mais faire ce partage comme lui le fait, c'est voler. C’est usurper, c’est tromper. 

Est-ce que je vole un livre chez un libraire parce que je le trouve intéressant et qu'il ferait bien dans ma bibliothèque ? NON 

M@claire »













Commentaires

  1. Le voleur de poèmes. Chine - 250 poèmes dérobés au chinois

    Première parution en 1990
    Collection Poésie, Mercure de France
    Parution : 15-01-1991

    «Les poèmes que j'ai signés seul, je doute pourtant d'en être propriétaire. Je me soupçonne toujours de n'en être que l'interprète, d'avoir mis au clair à voix haute le texte signé d'un auteur inconnu qui chuchotait à mon oreille. Mais je ne doute pas, depuis quarante ans, de dérober des poèmes quand je m'amuse, avec l'aide de mes amis chinois ou sinologues, à "inventer" des poèmes qui, de l'autre côté de la Grande Muraille des langues et des siècles, ont un double, un frère, un reflet. Des poème dont parfois, si j'ai réussi mon larcin, les dieux bilingues de la littérature disent, peut-être, en hochant la tête : "Est-ce un poème chinois français? Est-ce un poème français chinois? En tous les cas, Claude Roy est un voleur de poèmes!"»

    Claude Roy.

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    1. @ulysse merci pour ce rebond. Ceci Claude Roy... lui est un grand écrivain.... mon petit voleur à deux balles ne lui arrive pas à la cheville.. hahaha....

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    2. @Ulysse ! Bingo.. le petit voleur " tellement petit" a beaucoup apprécié votre commentaire qu'il s'est empressé de recopier sur sa page FB. Espérons que cela inspirera d'avantage sa lourde plume!!

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    3. C'est bien, Douce ! Au moins il ne manque pas d'humour…

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    4. @ulysse.... de l'humour.... un peu trop lourd à mon goût .... hahaha

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