« Même la nuit, je marche sur les petites routes bleues de mon cahier et chaque pas m’ouvre à des territoires libres où l’homme est partout chez lui, comme les rois et les voleurs.
Un seul pas sous les peupliers d’or.
Les mots appartiennent à l’homme qui marche. »
René Frégni "Je me souviens de tous vos rêves"
Tableau Odile Redon " Le Bouddha"
" Où je vais, personne ne va, personne n'est jamais allé, personne n'ira. J'y vais seul, le pays est vièrge et il s'efface derrière mes pas."
RépondreSupprimerJean Giono
@Aramis, on y va toujours seul oui....
Supprimer